Le Voyage d’Ernest Grenier

Et si le temps vous était conté… ?

Tous à bord de la Chrono-Temporium !

En 1884, Ernest Grenier, scientifique inquiet des effets de la Révolution Industrielle à long terme, utilise une machine créée par son ami Jules Vernes pour voyager vers le futur. Il ira loin, très loin, et comprendra bien vite qu’il n’existe pas un avenir unique, mais une infinité  de futurs en fonction des choix de chacun. Mais sur le chemin du retour, la machine tombe en panne… à notre époque. 

Qu’il s’agisse de la fable de Monsieur Redfish sur l’effet de serre ou de l’histoire d’Adia, petit robot vivant seul dans un monde idyllique, le spectacle mêle l’esthétique steampunk à la science-fiction. Entre théâtre de marionnettes et nombreux petits effets qui feront le bonheur de toute la famille, le duo voyage du clown à la poésie, questionnant sans cesse le temps mais surtout l’avenir – notre avenir en tant qu’espèce, aussi incertain soit-il. 

Création 2024 en résidence sur la commune de Baincthun ainsi qu’au Théâtre Monsigny de Boulogne-sur-Mer. Co-production Commune de Baincthun.

Texte et mise en scène : Manuel PAQUE
Idée originale : Ben BOISGONTIER
Interprètes : Ben BOISGONTIER, Laurent LEFEBVRE
Marionnettes : Erick LEHRMANN
Scénographie : Laurent LEFEBVRE
Peintures : Jim Colorex
Communication : Hubert BALDETTI
Production : Laurent LEFEBVRE

Durée

Age minimal conseillé

Taille de l'équipe

Espace minimal

L’ADN du spectacle

Balade Broceliande

90 secondes avant la fin

Après un spectacle sur l’arme atomique, un autre sur la finance et la mondialisation, il semblait quelque part logique que la prochaine création théâtrale de la compagnie ait trait à notre avenir fragile et plus généralement à la question du temps. À l’heure où l’Horloge de l’Apocalypse, outil scientifique, indique que la vie de l’humanité, si elle était ramenée à une journée de 24h, se situe à 23h58min30sec, le temps, insaisissable et universel, interroge.

Monsieur Redfish

Un petit monde vivant

Le décor et les accessoires sont issus de l’esthétique steampunk. La machine à voyager dans le temps, posée tel un vaisseau en fond de scène, est un personnage à part entière. Elle fume, elle clignote, elle vit. Puis viennent les phases marionnettiques, au cœur du spectacle.

Adia et bonhomme-ampoule

De clowns en poètes

D’abord clownesque, le duo de comédiens perdu dans le temps va peu à peu s’ouvrir et parler à coeur ouvert, laissant place aux doutes, aux réflexions philosophiques puis à la poésie tant dans le verbe que dans l’image. Ainsi, à l’instar d’Ernest, le public est invité à voyager, partant d’un terrain confortable… vers d’autres horizons. 

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